Refondation politique : Un mois pour poser les bases d’un État responsable

Volonté de changement

Après des années de fragilité institutionnelle et de méfiance populaire, les dirigeants actuels annoncent un cap clair : restaurer la confiance, assainir le système et redonner du sens à l’action publique. Le document décrit une volonté ferme de replacer l’État dans un cadre éthique et responsable. Dès les premières semaines, le Gouvernement engage plusieurs mesures fortes.

Le rapport met en avant la priorité donnée à la transparence, à la lutte contre la corruption et à la bonne gouvernance. Les autorités veulent rompre avec les pratiques opaques du passé et instaurer une culture de responsabilité. Le Premier Ministre souligne dans le rapport qu’une administration doit servir le peuple avant tout, rappelant la nécessité d’un changement profond dans la manière de gérer les affaires publiques.

Gestion publique

Parmi les gestes les plus marquants, les membres du Gouvernement procèdent à leur déclaration de patrimoine. La Constitution accorde trois mois pour cette démarche, mais les responsables choisissent d’agir dès les premières semaines. « Ceux qui servent l’État n’ont rien à cacher », déclare le Premier Ministre. Ce choix volontaire envoie un signal fort : la transparence devient la règle, non l’exception. Le rapport y voit un acte symbolique, mais aussi une étape décisive vers une gouvernance honnête et mesurable.

Le document souligne également la poursuite d’un autre objectif : renforcer la Stratégie Nationale de Lutte Contre la Corruption (SNLCC) avec le Conseil Supérieur de l’Intégrité. Le Gouvernement promet une collaboration étroite avec toutes les institutions concernées afin d’assainir durablement la gestion publique et de restaurer la confiance entre l’État et les citoyens. En effet, le rapport d’étape met en avant une dynamique de changement fondée sur la transparence, la responsabilité et l’exemplarité.