CEDS - La promotion Gisèle Rabesahala prend son envol
Le CEDS a célébré sa quinzième sortie de promotion hier au Carlton Anosy. Retrospective des actions déjà accomplies au menu.
Quinze ans de partage. C’est en ce sens que la dernière fournée du Centre d’études diplomatique et stratégique a célébré sa sortie de promotion hier à l’hôtel Carlton Anosy. Placée sous le haut patronage de Christine Razanamahasoa, présidente de l’Assemblée nationale, ancienne garde des sceaux et marraine de la quinzième promotion, la cérémonie aura été l’occasion pour le CEDS d’effectuer une brève rétrospective du travail accompli depuis le lancement de la première promotion d’auditeurs il y a de cela quinze ans. « Grâce aux échanges et partages accomplis depuis le début, nous avons eu l’opportunité de réfléchir entre autres à des actions pour sortir le pays de la pauvreté, ou comment inciter le citoyen à participer à de vrais débats pour faire avancer les choses », explique Solofo Rasoarahona, délégué général du Centre d’études dans son discours d’ouverture.
Vrais débats à l’image de ceux initiés par les prétendantes promotions à l’image des discussions sur l’exploitation des ressources naturelles, les impacts du phénomène de migration ou encore la promotion des droits à l’éducation, à la santé, à la sécurité et à la nutrition qui ont été rappelés par le délégué général dans son initiative de rétrospection des actions accomplies depuis les quinze années d’existence du Centre d’études.
Cette année aura été marqués par les initiatives de l’Association des anciens du CEDS (ASACEDS), composée de quelque sept cent auditeurs qui ont organisé ces événements axés sur la Préservation de l’environnement à Madagascar afin de répondre aux objectifs de développement durable qui sont d’agir urgemment pour combattre le changement climatique et ses impacts et gérer durablement les forêts, combattre la désertification, arrêter et inverser le processus de dégradation des terres et stopper la perte de biodiversité. « Une année de partage entre les directeurs de séminaires d’un côté et des auditeurs de l’autre. Des échanges enrichissants pour les deux côtés », argue le délégué général du CEDS.