Miss Earth 2024 : Madagascar hors du top 20
Malgré une belle participation, Madagascar n’a pas réussi à se qualifier parmi les 20 premières finalistes du concours Miss Earth 2024, dont la couronne a été remportée par Jessica Lane, Miss Earth Australie.
Une finale sans Madagascar dans le classement
Le concours Miss Earth 2024 a révélé les nouvelles ambassadrices de l’environnement, avec Jessica Lane, Miss Earth Australie, qui a été couronnée après un show de plus de trois heures à Manille, aux Philippines. Cependant, pour Madagascar, cette édition a été marquée par l’absence de Hendry Tsiky Andriambolatiana, Miss Earth Madagascar 2024, dans le top 20. En revanche tout, avec un total remarquable de 431 000 points, Hendry Tsiky a remporté le prix des fans de Miss Earth cette année. En deuxième place, on retrouve Miss Earth Pologne avec un total de 338 500 points, suivie de Miss Earth Samoa en troisième place avec 124 572 points. Bien que la représentante malgache ait porté fièrement les couleurs du pays, elle n’a pas réussi à se hisser parmi les finalistes de ce concours international. Miss Earth se distingue des autres concours de beauté par son engagement envers des causes écologiques et sociales. Les candidates sont jugées non seulement sur leur beauté, mais aussi sur leur capacité à sensibiliser et à agir pour la préservation de la planète. La couronne de Miss Earth 2024, décernée à Jessica Lane, symbolise l’importance croissante de ces enjeux à l’échelle mondiale.
Un concours international toujours aussi disputé
Malgré l’absence de Madagascar parmi les finalistes, l’édition 2024 a encore été un concours de haute volée, avec des candidates venant de tous horizons. Les autres titres secondaires, comme Miss Earth-Air, Miss Earth-Water et Miss Earth-Fire, ont été attribués à Miss Islande, Miss USA et Miss Pérou, respectivement. Madagascar, bien qu’absent du classement final, reste une nation avec un fort potentiel dans les concours de beauté internationaux. Miss Earth 2024 rappelle l’importance des valeurs de durabilité et d’autonomisation des femmes. Madagascar pourra sans doute capitaliser sur cette expérience pour les futures éditions, où de nouvelles ambassadrices pourraient continuer à porter fièrement les causes environnementales sur la scène mondiale.